Finalement c’est assez vrai. Il faut considérer que oStorybook n’est qu’un outil, et comme n’importe quel outil il faut apprendre à s’en servir. C’est surtout vrai lorsqu’on veut reprendre un travail déjà entrepris. Prenez un peu de temps pour analyser la manière dont vous travaillez. Je vous propose de décrire ici cette manière.
Je vous donne un exemple, par rapport à mes premiers efforts d’écriture. Au tout début j’ai créé un fichier LibreOffice, puis lorsqu’il a commencé à prendre de l’ampleur je l’ai subdivisé en plusieurs fichiers. Puis est venu le moment où il a été nécessaire de me documenter sur certains aspects de mon projet. Pour « étoffer » mon récit j’ai eu besoin de pousser un peu les descriptions de mes personnages ou de mes lieux. Pour mieux gérer tout ça j’avais mis en place un tableur, mais ce système a vite montré ses limites.
Je pense que c’est la démarche générale de chacun. Le hic c’est que sans organisation préalable on peut être rapidement submergé par tous ces éléments, et on a du mal à en avoir une vue d’ensemble. Et je ne parle même pas de la possibilité de vérifier la cohérence des détails. oStorybook est destiné à aider l’auteur. Aide qui peut accompagner l’auteur depuis ses premières ébauches jusqu’à la publication finale.
La difficulté essentielle est que oStorybook est multiforme. Il n’impose pas de travailler de telle ou telle manière. Il n’impose pas une méthode unique de réflexion. Il n’impose pas d’organiser ses fichiers selon un schéma prédéfini. Non, vous êtes libre de faire comme vous l’entendez. Certes il y a des recommandations, mais il n’est pas obligatoire de les suivre.
Très régulièrement je demande si quelqu’un n’aurait pas envie de rédiger une documentation décrivant sa manière d’utiliser oStorybook, malheureusement je n’ai pas eu beaucoup de succès. Moi je connais trop bien le logiciel. Je peux indiquer comment réaliser telle ou telle opération. Je peux faire évoluer le code de manière à répondre à un besoin précis. Mais sur le « comment utiliser au mieux oStorybook » je ne suis pas le mieux placé.
N’hésitez pas à décrire ici votre manière de travailler, vos besoins, vos interrogations. C’est toujours avec plaisir que je m’efforce de proposer mon aide, et je suis certain que d’autres le feront.